La diarrhée aiguë chez les chevaux est un trouble de santé courant qui peut avoir des conséquences graves si elle n’est pas traitée rapidement et efficacement. Cette condition, caractérisée par des selles liquides ou molles et une augmentation de la fréquence des défécations, peut être le symptôme de diverses affections sous-jacentes, allant d’infections bénignes à des troubles plus sévères nécessitant une intervention vétérinaire immédiate. Il est crucial pour les propriétaires d’équidés de comprendre les causes possibles, les méthodes de diagnostic appropriées et les options de traitement disponibles afin d’assurer le bien-être de leurs animaux.

), les techniques de diagnostic utilisées par les vétérinaires et les stratégies thérapeutiques actuelles (probiotiques diarrhée cheval, vermifuge diarrhée cheval, etc.). En comprenant mieux ces éléments, les propriétaires de chevaux seront mieux équipés pour reconnaître les signes précoces de la diarrhée, prendre des décisions éclairées en matière de soins et collaborer efficacement avec leur vétérinaire pour une gestion optimale de cette affection.

Physiologie intestinale équine : une base essentielle

Comprendre le fonctionnement normal du système digestif équin est fondamental pour appréhender les causes et les conséquences de la diarrhée aiguë. Le tube digestif du cheval est un système complexe et spécialisé, adapté à la digestion des fibres végétales. Contrairement aux monogastriques comme l’humain, le cheval possède un gros intestin particulièrement développé, où la fermentation microbienne joue un rôle central dans la dégradation des fibres et la production d’énergie. Cette section explorera la structure et la fonction du tube digestif équin, ainsi que les facteurs qui influencent sa santé et son équilibre.

Structure et fonction du tube digestif équin

  • Le tube digestif équin se compose de l’œsophage, de l’estomac, de l’intestin grêle et du gros intestin (cæcum, côlon et rectum). L’estomac du cheval est relativement petit, ce qui explique la nécessité de fractionner les repas.
  • Le gros intestin est le siège de la fermentation microbienne, où des milliards de bactéries, de protozoaires et de champignons décomposent les fibres végétales en acides gras volatils (AGV), qui constituent une source d’énergie importante pour le cheval. Cette fermentation produit également des vitamines du groupe B et de la vitamine K.
  • L’absorption de l’eau et des électrolytes est un processus essentiel qui se déroule principalement dans le gros intestin. Des perturbations de ce processus peuvent entraîner une déshydratation rapide en cas de diarrhée. Le cheval peut boire entre 25 et 45 litres d’eau par jour, selon son activité et les conditions climatiques.

Facteurs influant sur la santé intestinale

  • L’alimentation est un facteur déterminant de la santé intestinale. Un régime riche en fibres, à base de foin de bonne qualité, est essentiel pour maintenir l’équilibre de la flore bactérienne. Les changements brusques d’alimentation peuvent perturber le microbiote et entraîner des troubles digestifs.
  • Le stress, qu’il soit lié au transport, à la compétition ou à des changements d’environnement, peut avoir un impact négatif sur la motilité intestinale et le système immunitaire, augmentant ainsi le risque de diarrhée.
  • L’utilisation d’antibiotiques, bien que parfois nécessaire, peut perturber l’équilibre de la flore bactérienne et favoriser la prolifération de bactéries pathogènes comme *Clostridium difficile*. Les AINS, utilisés pour soulager la douleur, peuvent également provoquer des ulcères gastriques et intestinaux.
  • L’âge joue également un rôle. Les poulains, dont le système immunitaire est encore en développement, sont plus vulnérables aux infections. Les chevaux âgés peuvent présenter une diminution de la fonction digestive et une plus grande sensibilité aux troubles digestifs.

Causes de la diarrhée aiguë équine : identifier les facteurs déclenchants

La diarrhée aiguë chez le cheval peut être causée par une multitude de facteurs, qu’ils soient d’origine infectieuse ou non. Identifier la cause sous-jacente est fondamental pour mettre en place un traitement approprié et efficace. Cette section passera en revue les principales causes de diarrhée aiguë équine, en mettant l’accent sur les agents infectieux les plus courants et les facteurs non infectieux qui peuvent perturber l’équilibre intestinal.

Causes infectieuses

Bactériennes

  • *Salmonella* : Cette bactérie est une cause fréquente de diarrhée aiguë chez le cheval. Différents sérotypes existent, certains étant plus virulents que d’autres. *Salmonella* peut provoquer une inflammation sévère de l’intestin et une septicémie.
  • *Clostridium difficile* et *Clostridium perfringens* : Ces bactéries produisent des toxines qui endommagent la muqueuse intestinale. L’antibiothérapie est un facteur de risque important pour la prolifération de ces bactéries.
  • *Lawsonia intracellularis* : Cette bactérie est responsable de l’hyperplasie intestinale proliférative, une affection qui touche principalement les poulains et qui se caractérise par un épaississement de la paroi intestinale.

Focus : La résistance aux antibiotiques est un problème croissant dans le traitement des infections bactériennes chez les chevaux. L’utilisation excessive et inappropriée d’antibiotiques favorise le développement de bactéries résistantes, ce qui rend les infections plus difficiles à traiter.

Virales

  • Rotavirus : Ce virus est une cause fréquente de diarrhée chez les poulains, en particulier chez les jeunes poulains de moins de six mois. Le Rotavirus endommage les cellules de la muqueuse intestinale, ce qui entraîne une malabsorption et une diarrhée.
  • Coronavirus équin : Ce virus peut provoquer une diarrhée aiguë chez les chevaux de tous âges. Les symptômes peuvent varier de légers à sévères, et la transmission se fait principalement par voie fécale-orale.
  • Adenovirus : Souvent observé chez les poulains immunodéprimés, l’adénovirus peut contribuer à des infections respiratoires et digestives.

Parasitaires

  • Strongylidés (petits et grands strongles) : Ces parasites peuvent causer des dommages importants à la muqueuse intestinale, en particulier chez les jeunes chevaux. Les larves enkystées peuvent provoquer une inflammation chronique et une diarrhée intermittente.
  • Cyathostomes résistants aux anthelminthiques : La résistance aux vermifuges est un problème croissant, ce qui rend difficile le contrôle des infestations parasitaires. Un programme de vermifugation raisonné est crucial.
  • Autres parasites : *Parascaris equorum* (poulains) et *Oxyuris equi* (oxyurose) peuvent également contribuer à la diarrhée.

Fongiques

Bien que rares, les infections fongiques telles que *Aspergillus* ou *Candida* peuvent survenir chez les chevaux immunodéprimés et entraîner une diarrhée.

Causes non infectieuses

Liées à l’alimentation

  • Surcharge en glucides : Une consommation excessive de céréales ou d’aliments riches en sucre peut entraîner une fermentation excessive dans le gros intestin, ce qui provoque un déséquilibre de la flore bactérienne et une diarrhée. Le risque de fourbure est également accru.
  • Changement brusque d’alimentation : Le tube digestif du cheval a besoin de temps pour s’adapter aux nouveaux aliments. Un changement brusque d’alimentation peut perturber la flore bactérienne et entraîner une diarrhée. Il est recommandé de faire des transitions alimentaires progressives sur une période de plusieurs jours.
  • Ingestion de toxines : Certaines plantes toxiques, comme le laurier rose, et les mycotoxines présentes dans le fourrage contaminé peuvent être responsables de troubles digestifs.
  • Sable : L’accumulation de sable dans le côlon peut irriter la muqueuse intestinale et provoquer une diarrhée chronique.
  • Silage de mauvaise qualité : Le silage mal conservé peut contenir des bactéries pathogènes et des toxines qui provoquent des diarrhées.

Médicamenteuses

L’utilisation d’antibiotiques et d’AINS est une cause fréquente de diarrhée chez le cheval, due à la perturbation de la flore intestinale ou à l’irritation de la muqueuse.

Stress

Le stress lié au transport, à la compétition, à la chirurgie ou à des changements d’environnement peut affecter la motilité intestinale et le système immunitaire, augmentant ainsi le risque de diarrhée.

Maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI)

Le syndrome du côlon irritable équin (IBD-like) et la maladie de Crohn-like sont des affections inflammatoires chroniques qui peuvent provoquer une diarrhée persistante.

Autres

Une obstruction intestinale partielle, une insuffisance hépatique ou rénale, ou des tumeurs peuvent également être à l’origine d’une diarrhée aiguë chez le cheval.

Diarrhée idiopathique

Dans certains cas, la cause de la diarrhée ne peut pas être identifiée malgré des investigations approfondies. On parle alors de diarrhée idiopathique. Des facteurs tels qu’une dysbiose subtile ou une réponse immunitaire anormale peuvent être impliqués.

Diagnostic de la diarrhée aiguë équine : L’Enquête du vétérinaire

Un diagnostic précis est essentiel pour déterminer la cause de la diarrhée et mettre en place un traitement approprié. Le vétérinaire procédera à une évaluation complète de l’équidé, en recueillant des informations sur son historique, en réalisant un examen clinique approfondi et en effectuant des examens complémentaires si nécessaire. L’objectif est d’identifier la cause sous-jacente de la diarrhée et d’évaluer la gravité de l’affection.

Anamnèse détaillée

Le vétérinaire posera des questions sur l’âge, la race, l’utilisation du cheval, son historique vaccinal et vermifuge, son régime alimentaire, son historique de maladies ou de traitements médicamenteux, le nombre de chevaux affectés dans l’écurie, les voyages récents et les contacts avec d’autres chevaux.

Examen clinique complet

L’examen clinique permettra d’évaluer l’état général du cheval, sa température, sa fréquence cardiaque et respiratoire, son hydratation, la couleur de ses muqueuses, le temps de remplissage capillaire, les sons intestinaux et la présence de douleur abdominale. Une palpation transrectale peut également être réalisée pour détecter des lésions ou une distension abdominale.

Examens complémentaires

Analyses de sang

  • Hématologie complète : Permet d’évaluer le nombre de globules blancs, de globules rouges et de plaquettes, ce qui peut indiquer une infection, une inflammation ou une anémie.
  • Biochimie : Permet d’évaluer les électrolytes, les protéines totales, l’albumine, la fonction rénale et hépatique. Les déséquilibres électrolytiques sont fréquents en cas de diarrhée et peuvent entraîner une déshydratation sévère.
  • Gaz sanguins : Permet d’évaluer l’équilibre acido-basique, qui peut être perturbé en cas de diarrhée sévère.

Analyse des selles

  • Coproculture : Permet d’identifier les bactéries pathogènes telles que *Salmonella* ou *Clostridium difficile*.
  • Recherche de toxines de *Clostridium difficile* : Permet de confirmer le diagnostic d’infection à *Clostridium difficile*.
  • Examen parasitologique des selles : Permet d’identifier les œufs de parasites.
  • PCR : Permet de détecter les virus (Rotavirus, Coronavirus) et les bactéries.
  • Fecal score : Permet d’évaluer la consistance des selles.

Idée originale : L’analyse du microbiote fécal par séquençage ADN (16S rRNA) peut être utilisée pour évaluer la dysbiose et cibler des traitements plus spécifiques, tels que l’utilisation de probiotiques ou la transplantation de matière fécale (FMT).

Autres examens

Une échographie abdominale peut être réalisée pour évaluer l’épaisseur de la paroi intestinale et la présence de liquide. Une endoscopie peut être utilisée pour visualiser la muqueuse gastrique, l’intestin grêle et le côlon, et réaliser des biopsies pour examen histologique. Une ponction abdominale (abdominocentèse) peut être réalisée pour analyser le liquide péritonéal et rechercher des cellules inflammatoires ou des bactéries.

Synthèse du diagnostic

Le vétérinaire synthétisera toutes les informations recueillies lors de l’anamnèse, de l’examen clinique et des examens complémentaires pour établir un diagnostic différentiel. Les causes les moins probables seront éliminées, et les causes les plus probables seront hiérarchisées. Le diagnostic sera confirmé par les examens complémentaires.

Agent Infectieux Pourcentage de cas de diarrhée aiguë
Salmonella 10-15%
Clostridium difficile 5-10%
Rotavirus (chez les poulains) 20-30%

Traitement de la diarrhée aiguë équine : restaurer l’équilibre intestinal

Le traitement de la diarrhée aiguë équine vise à corriger la déshydratation, à restaurer l’équilibre électrolytique, à soulager la douleur et à traiter la cause sous-jacente. Les mesures générales de soutien sont essentielles, et des traitements spécifiques (probiotiques diarrhée cheval, FMT transplantation fécale cheval) peuvent être nécessaires en fonction de la cause de la diarrhée. Une approche individualisée est nécessaire pour chaque cheval, en tenant compte de la gravité de l’affection et de la cause sous-jacente.

Mesures générales et de soutien

Réhydratation

L’administration de fluides intraveineux est essentielle pour corriger la déshydratation et restaurer l’équilibre électrolytique. La quantité de fluides à administrer dépendra du degré de déshydratation et des pertes continues. La surveillance de la pression veineuse centrale et du débit urinaire est importante pour évaluer l’efficacité de la réhydratation. Un cheval déshydraté peut nécessiter de 5 à 10 litres de fluides par jour, voire plus dans les cas les plus graves.

Nutrition

Une alimentation légère et digestible, à base de foin de bonne qualité, en petites quantités fractionnées, est recommandée. Les céréales et les aliments riches en glucides doivent être évités. Dans certains cas, une alimentation parentérale peut être nécessaire si le cheval ne mange pas. L’utilisation d’un régime à base de pulpe de betterave non mélassée, riche en fibres solubles, peut être bénéfique pour nourrir les bactéries bénéfiques.

Gestion de la douleur

Des antalgiques tels que les AINS ou les opioïdes peuvent être utilisés pour soulager la douleur abdominale. Il est fondamental d’utiliser les AINS avec prudence, en raison de leurs effets secondaires potentiels sur la muqueuse gastrique et intestinale.

Hygiène

L’isolement du cheval malade est essentiel pour prévenir la propagation des infections. L’environnement (box, matériel) doit être désinfecté régulièrement.

Traitements spécifiques

Antibiothérapie

L’antibiothérapie ne doit être utilisée que si une infection bactérienne est confirmée. Le choix de l’antibiotique doit être basé sur la sensibilité bactérienne. L’utilisation prudente et ciblée des antibiotiques est essentielle pour éviter le développement de résistances et le déséquilibre du microbiote.

Alternative : Des immunoglobulines intraveineuses peuvent être utilisées pour neutraliser les toxines bactériennes.

Anti-inflammatoires

Les corticostéroïdes peuvent être utilisés en cas d’inflammation sévère. Les AINS doivent être utilisés avec prudence et sous surveillance.

Pansements digestifs

Le kaolin, la pectine et la smectite sont des pansements digestifs qui adsorbent les toxines et protègent la muqueuse intestinale.

Probiotiques et prébiotiques

Les probiotiques et les prébiotiques peuvent être utilisés pour rétablir la flore intestinale. Il est fondamental de choisir des souches spécifiques et d’utiliser les doses optimales. La combinaison de probiotiques et de transplantation de matière fécale (FMT) peut être utilisée pour une restauration plus rapide et complète du microbiote.

Autres traitements

Des anthelminthiques peuvent être utilisés si la diarrhée est due à une infestation parasitaire (vermifuge diarrhée cheval). Des agents anti-endotoxémiques tels que la polymyxine B peuvent être utilisés pour neutraliser l’endotoxine bactérienne. La transplantation de matière fécale (FMT) peut être utilisée pour restaurer le microbiote et traiter la diarrhée persistante ou récidivante.

Type de Traitement Pourcentage d’efficacité
Fluides IV 85-95% (pour réhydratation)
Probiotiques 50-70% (pour améliorer le microbiote)
Transplantation de matière fécale (FMT) 60-80% (diarrhée persistante)

Prévenir la diarrhée aiguë : L’Art d’anticiper

La prévention est cruciale pour réduire l’incidence de la diarrhée aiguë chez les chevaux. En mettant en place des mesures de gestion appropriées, les propriétaires d’équidés peuvent minimiser les risques de développer cette affection. Cela inclut la gestion de l’alimentation, l’hygiène, la gestion du parasitisme, la réduction du stress et l’utilisation raisonnée des antibiotiques. Une surveillance attentive des chevaux et une consultation vétérinaire rapide en cas de signes de diarrhée sont aussi importantes.

Gestion de l’alimentation

Un régime alimentaire équilibré et adapté aux besoins du cheval est essentiel. Les transitions alimentaires doivent être progressives, sur une période de plusieurs jours. Le fourrage doit être de bonne qualité, exempt de moisissures et de toxines. L’accès à de l’eau propre et fraîche doit être assuré en permanence. Les repas doivent être fractionnés.

Hygiène

Le nettoyage et la désinfection réguliers des box et du matériel sont importants. La gestion rigoureuse des fumiers est aussi essentielle pour limiter la propagation des agents infectieux. La quarantine des nouveaux arrivants et des chevaux malades est également nécessaire.

Gestion du parasitisme

Un programme de vermifugation raisonné, basé sur les résultats des coproscopies, est recommandé pour prévenir la diarrhée (vermifuge diarrhée cheval). La rotation des anthelminthiques est importante pour prévenir les résistances. La gestion des pâtures doit être optimisée pour réduire le risque d’infestation parasitaire. Cela inclut :

  • Rotation des pâtures pour réduire la concentration larvaire
  • Ramassage régulier des crottins
  • Éviter le surpâturage

Réduction du stress

Il est important de minimiser les transports et les changements d’environnement. Un environnement stable et confortable doit être assuré. Le stress lié à la compétition ou à l’entraînement doit être géré.

Vaccination

La vaccination contre les agents infectieux les plus courants, tels que le Rotavirus chez les poulains (diarrhée poulain rotavirus), peut aider à prévenir la diarrhée.

Utilisation raisonnée des antibiotiques

Les antibiotiques ne doivent être prescrits que si nécessaire et en fonction de la sensibilité bactérienne. Les alternatives aux antibiotiques, telles que les probiotiques ou les immunoglobulines, doivent être considérées.

Surveillance attentive des chevaux

La détection précoce des signes de diarrhée est essentielle. Une consultation vétérinaire rapide doit être sollicitée en cas de diarrhée aiguë.

En bref

La diarrhée aiguë équine représente un défi diagnostique et thérapeutique nécessitant une approche globale. La compréhension des causes potentielles, des méthodes diagnostiques et des options thérapeutiques est primordiale. En collaborant étroitement, les propriétaires et les vétérinaires peuvent optimiser la gestion de cette affection et améliorer le bien-être des chevaux. N’hésitez pas à consulter votre vétérinaire au moindre signe de trouble.

Les recherches futures, notamment sur le microbiote équin et le développement de nouvelles thérapies, offrent des perspectives prometteuses pour améliorer la prise en charge de la diarrhée aiguë équine. Adopter des pratiques préventives et consulter rapidement un vétérinaire sont des mesures fondamentales pour assurer la santé et le bien-être des chevaux.